Produits de comblement


Le principe des injections de comblement

Le principe des injections de comblement consiste à injecter sous la peau, au niveau de la zone creusée, une substance ⟨de préférence biologique⟩ destinée à remplacer le volume de tissu sous-cutané disparu et ainsi redonner à la peau son galbe initial par restitution de ses « fondations ».


Une liste des produits de comblement des rides est disponible sur le site de l’ANSM ⟨Agence Nationale de Sécurité du Médicament⟩ Site ici


Vous trouverez également sur le site des recommandations concernant les produits à utiliser. Seuls des produits résorbables, gage d’un maximum de sécurité, doivent être utilisés, les principaux sont à base d’acide hyaluronique mais aussi d’hydroxylapatite de calcium, produit nettement moins utilisé en Europe.

Avant toute injection de correction le dermatologue au cours d’une consultation préalable vous examinera afin de déterminer les produits à utiliser et les zones à corriger et de savoir si médicalement vous pouvez bénéficier de ce type de traitement. Un devis mentionnant le type de produit qui sera utilisé et les localisations à traiter, ainsi que la mention des éventuels effets secondaires possibles, vous sera remis avant les injections.



Acide hyaluronique

L’acide hyaluronique est un polysaccharide présent dans tout le corps humain mais à 56% dans la peau, surtout le derme, diminuant avec l’âge. Ce sont des dispositifs médicaux répondant à des normes de fabrication et ayant obtenu un marquage CE délivré pour l’ensemble de la communauté européenne.


L’acide hyaluronique est aussi utilisé dans le traitement de certaines maladies par exemple en ophtalmologie, pour remplacer certaines structures de la vision, en rhumatologie pour traiter l’arthrose du genou et de la hanche mais aussi en urologie.


L’acide hyaluronique est actuellement le produit résorbable le plus utilisé dans le traitement des rides. C’est une molécule d’une excellente tolérance, elle n’est pas spécifique à une espèce et a la même structure chimique quel que soit l’espèce, humaine, animale ou bactérienne. Il y a donc peu de risques de provoquer une allergie en injectant de l’Acide Hyaluronique, qui est produit essentiellement aujourd’hui par fermentation bactérienne.


Cette molécule est surtout totalement résorbable.


Elle peut absorber plus de 500 fois son poids en eau, agissant comme une éponge et apportant du volume.


Sa durée de vie, très brève, est encore raccourcie par l’exposition au soleil et la mauvaise vascularisation due au tabac.


L’utilisation d’un produit réticulant liant les molécules d’AH entre elles, ralentit les processus de dégradation et d’élimination, mais ne modifie pas les propriétés de la molécule d’AH qui sera utilisée pour combler les rides et le manque de volume.


L’AH a aussi des propriétés anti oxydantes et peut agir comme un piégeur de radicaux libres, il pourra alors être utilisé sous une forme non réticulée enmésothérapie comme hydratant antioxydant.


Il ne faut utiliser comme injectables que des acides hyaluroniques purs, à part ceux contenant de la lidocaine, anesthésiant bien utile.


Il ne faut plus jamais se faire injecter de  l’acide hyaluronique contenant des produits de comblement associés dont on ne connaît pas le devenir, pouvant être non résorbables et source de complications comme les granulomes ⟨ nodules sous la peau⟩ et aussi susceptibles d’être réveillés par une injection sur le même site.


Les produits de comblement à base d’acide hyaluronique peuvent être utilisés pour trois types de correction :

1. injections ridules, rides et sillons,

2. injections de volumétrie,

3. injections de mésothérapie.



1.Ridules, rides et sillons.

Au niveau de la ride existe un pli, plus ou moins profond dans la peau, qu’il faut remplir avec l’AH qui existe en plusieurs concentrations afin de s’adapter aux différentes rides à combler :

Sillons naso géniens, plis d’amertume où sera utilisé un AH concentré ou plus réticulé

Rides des joues, du menton, lèvres où on prendra un AH plus fluide

il faut noter que la fluidité de l’AH  ne préjuge pas de sa durée de vie mais il est certain que lorsqu’il sera injecté en plus grande quantité, il mettra plus de temps à s’éliminer.


Est-ce que l’injection fait mal ?

Aujourd’hui elle ne devrait plus être douloureuse ! En effet, la plupart des AH contiennent un anesthésiant et les aiguilles utilisées sont très fines, de plus on peut appliquer une pommade anesthésiante avant le soin.

Les injections des lèvres surtout pour la lèvre supérieure nécessiteront souvent une petite anesthésie locale au niveau de la gencive.


Y a-t-il des suites ?

Quelques rougeurs, hématomes sont toujours possibles minimisés par la prise d’arnica et l’application préventive de pommades spéciales. Exceptionnellement une infection.


Y a-t-il des contre-indications ?

Le dermatologue vous examinera au cours de la consultation préalable et il déterminera les contre-indications éventuelles aux injections en vous interrogeant sur votre passé médical, la prise éventuelle de médicaments, votre état de santé actuel. Eviter les sports violents après les injections.


Combien de temps durent les injections ?

Entre 6 et 12 mois en moyenne, parfois plus.


2. Injection de volumétrie

La diminution des volumes du visage peut être compensée avec des injections d’acide hyaluronique.

Les modifications de répartition des volumes du visage liées à la fonte des « rondeurs » juvéniles permettent dans un premier temps de forger naturellement le caractère adulte d’un visage ⟨ apparition des rides naso-géniennes, affinement facial⟩ mais leur excès en des zones charnières contribue à façonner peu à peu les stigmates de « fatigue » et de vieillissement des traits :

Diminution de volume des pommettes,

Creusement sous les yeux ⟨donnant un aspect de cernes et accentuant d’éventuelles poches⟩ : l’effondrement du volume de cette zone charnière à l’étage moyen de la face est d’ailleurs un des stigmates majeur de l’aspect vieilli d’un visage transformant une zone bombée ⟨ convexe⟩ en un zone creusée ⟨ concave⟩ ; la mimique d’un simple sourire, redonnant momentanément du volume à cette zone, contribue à redonner une apparence rajeunie.


Nous pouvons en rapprocher la zone creusée partant obliquement à partir du coin interne des yeux – appelée « vallée des larmes » – et donnant l’impression de cerne.


Aplatissement des tempes,

Rides naso-géniennes excessives ⟨rides obliques descendant à partir des ailes du nez et donnant un visage triste et sévère⟩,

Rides dites d’amertume aux commissures des lèvres dont la direction s’est progressivement infléchie vers le bas ⟨donnant une apparence triste voire aigrie⟩…,

Petite concavité latérale de chaque côté du menton brisant l’harmonie de l’arc mandibulaire et donnant la fausse impression qu’existe une bajoue. Cette concavité correspond à une perte de volume en regard d’une dépression de l’os, la fossette mandibulaire. Une injection de chaque côté à ce niveau rétablira la convexité harmonieuse de l’arc mandibulaire et de l’ovale du visage.


Toutes les solutions de rajeunissement agissant sur cette fonte des volumes reposent sur le principe de comblement ⟨ « Soft tissue augmentation » des Anglo-Saxons⟩ : il s’agit d’injecter sous la peau, au niveau de la zone creusée, une substance ayant la structure du volume disparu ⟨ donc de préférence biologique⟩ et destinée à remplacer le volume de tissu perdu lors du temps. La plupart du temps un comblement du haut du visage, des pommettes suffit dans un premier temps, le visage retrouve un aspect rajeuni et le fait de remonter les traits retend aussi les sillons naso géniens et les plis d’amertume.


Est-ce efficace?

Oui. Cependant, la qualité des résultats dépend du type de ride, de la qualité de la de peau ⟨ surtout son tonus⟩, du produit choisi et de la technique du médecin.


Est-ce douloureux ?

Très peu, on pourra utiliser ici deux méthodes d’injections :

aiguille qui sera un peu plus grosse que pour les injections classique une petite anesthésie locale ou l’application préalable d’une pommade anesthésiante permettra de minimiser la douleur.

canule qui nécessitera la pratique d’un pré trou avant d’être introduite sous la peau ; cette technique est très peu douloureuse


Quelles sont les suites immédiates ?

De petits hématomes et rougeurs légères peuvent éventuellement apparaître immédiatement pendant la séance et durer quelques jours. L’application de packs de glace avant et après l’injection permet de réduire leur incidence.


Combien de temps cela dure ?

Plus longtemps que les injections classiques ; certains acides hyaluroniques pouvant  durer de deux à trois ans, il est nécessaire de bien les injecter en bonne quantité, en se disant qu’on peut toujours en remettre mais pas en enlever

L’injection de hyaluronidase qui fait “fondre ” l’AH est toujours interdite en France pour des raisons médicales.



3. Les injections de mésothérapie

Il ne s’agit plus ici de comblement avec l’AH réticulé mais de revitalisation, d’hydratation avec l’AH non réticulé dont la durée de vie est très courte

Une aiguille très courte et fine est utilisée superficiellement pour injecter par de multiples piqures le produit au niveau du visage, du cou et du décolleté essentiellement afin de réhydrater la peau, de lui donner un coup de frais

Les séances seront assez rapprochées au début puis espacées progressivement

Certains produits contiennent de l’AH associé à des vitamines mais celles-ci n’ont jamais vraiment fait la preuve de leur efficacité autrement qu’en laboratoire.



Quelles sont les suites à long terme des injections d’acide hyaluronique ?

En raison de la nature biodégradable du produit aucun préjudice à long terme imputable à l’acide hyaluronique n’a véritablement été recensé. Cependant des petites zones d’induration ont exceptionnellement été rapportées dues à des doses localisées excessives. Elles disparaissent progressivement au cours du temps ou plus rapidement par une petite injection locale d’un produit approprié.


Enfin il est capital d’informer votre médecin sur l’existence éventuelle d’injections préalables sur le visage.


En effet l’injection d’acide hyaluronique peut réactiver un produit non biodégradable ⟨ jusque-là bien toléré mais à potentiel réactif⟩ et créer une réaction inflammatoire néfaste ! Bien renseigner son médecin !


La réglementation étant loin d’être suffisante, il faut aujourd’hui privilégier les sociétés fabricants de l’acide hyaluronique  depuis très longtemps ⟨ plus de 10 ans pour certaines⟩.

En effet, à ce jour seul le marquage CE est obligatoire. Force de ce constat L’ANSM ⟨ Agence Nationale de Sécurité du Médicament⟩ a publié une classification des produits de comblement.


La traçabilité est primordiale et chaque patient doit recevoir les caractéristiques du produit qu’on lui injecte ⟨ avec au minimum le nom, le fabricant, le numéro de lot⟩. Le dermatologue doit  garder aussi  les données. En cas de nouvelles injections chez un autre praticien il est important de donner tous les renseignements sur les produits déjà injectés.


Les dermatologues ont d’ores et déjà mis en place des structures de vigilance permettant de déclarer les effets indésirables liés aux injections de produits dans le traitement des rides.



Toxine botulique ⟨ “Botox”⟩


La toxine botulique agit en bloquant chimiquement la relation entre l'extrémité de la fibre nerveuse et la fibre musculaire correspondante.


La toxine Botulique existe sous 3 formes commercialisées en France  pour les injections esthétiques Azzalure®, Bocouture® et Vistabel®. Les Dermatologues sont les seuls médecins autorisés à pratiquer ces actes ainsi que  les chirurgiens plasticiens, maxillo-f​aciaux  et  les ophtalmologues. Seuls ces médecins peuvent acheter ces ​produits.


Comment agit la toxine botulique?

La toxine botulique est une molécule protéique toxique pour le système nerveux ⟨ neurotoxine⟩ sécrétée par une bactérie, le «Clostridium Botulinum».


Au 19ème et au début du 20ème siècle, cette bactérie a été responsable d’intoxications alimentaires graves ⟨ charcuterie avariée, conserves altérées⟩.

La destruction de cette toxine par la chaleur explique le réflexe des générations anciennes d’ébouillanter les boîtes de conserve avant utilisation.

La toxine botulique est utilisée à des doses infinitésimales ⟨ et évidemment dénuées de toute toxicité⟩ depuis 1990 pour réduire les rides d’origine musculaire du front et des tempes.

Depuis cette date de très nombreuses études scientifiques ont permis d’améliorer les techniques et les résultats, de bien cerner les effets secondaires et enfin de confirmer formellement l’innocuité du produit aux doses utilisées.


Dans des circonstances physiologiques normales, chaque sollicitation d’une fibre nerveuse motrice ⟨ soit par la commande volontaire issue du cerveau soit par automatisme lors d’une mimique⟩ aboutit normalement à la contraction de l’unité musculaire qu’elle contrôle.

L’action de la toxine botulique sur une fibre nerveuse entraîne donc une paralysie de la fibre musculaire correspondante.

Au niveau de l’ensemble d’un muscle ⟨ qui correspond à de très nombreuses fibres musculaires⟩ l’injection de toxine botulique dans le muscle peut avoir deux conséquences possibles selon la technique d’injection :


Une paralysie totale du muscle si l’injection est excessive et incrimine toutes les fibres nerveuses qui le commandent. C’est ce type d’injection qui aboutit aux fronts immobiles et figés que l’on voit malheureusement trop souvent chez certaines personnes très médiatisées.


Nous n’utilisons jamais ce type de technique !


Un effet de simple relaxation du muscle si l’injection n’est limitée qu’à une partie des fibres nerveuses qui le commandent. Le front se détend, les mimiques automatiques se réduisent et ne reproduiront donc pas de froncement excessif mais la mobilisation reste toujours possible et rend le résultat plus naturel.


En effet une jeune fille au front lisse et détendu n’a pas le front paralysé et peut faire varier ses mimiques à sa guise !!!


L’effet de la toxine botulique est éphémère bien que son action biologique soit définitive. Ce paradoxe permet de comprendre pourquoi il faut répéter les injections au cours du temps.


En effet après l’action irréversible de la toxine botulique, les terminaisons nerveuses vont à nouveau bourgeonner et progressivement se régénérer pour être à nouveau fonctionnelles. Ce temps de régénération correspond en pratique à l’effet obtenu après une injection. Les nombreuses études scientifiques ont révélé une durée moyenne de 3 mois et demie après une première injection mais des variations individuelles sont possibles.

C’est au moment où les effets commencent à s’estomper que l’injection suivante doit être effectuée !

Le muscle ne pourra donc pas récupérer totalement sa force et son tonus et la deuxième injection aura un effet plus durable que la première… et ainsi de suite.


Les études scientifiques effectuées sur des populations statistiquement significatives ont montré que les durées moyennes de l’effet de la toxine botulique s’allongent en effet à mesure des injections.

Donc en pratique les effets relaxant des injections de toxine botulique sont de plus en plus durables à mesure que les injections sont effectuées : il faut tabler autour de 6 mois et progressivement plus sans qu’il soit possible de le prévoir individuellement pour chaque patient.

Il est donc logique de prévoir 3 sessions la première année puis 2 sessions par an.



L’art du traitement par la toxine botulique et les résultats

Le but du traitement par la toxine botulique est d’adoucir sur un visage les traits qui ont tendance à le « durcir » ou le vieillir.

Avant tout traitement il convient d’examiner attentivement le patient et ses mimiques. Chaque cas est en effet un cas particulier.

La pratique de ces injections requiert en effet une connaissance anatomique extrêmement précise de la musculature du visage.


Les dermatologues font partis des médecins autorisés et qualifiés pour pratiquer ces injections.

Les résultats sont appréciables seulement dès le 3ème jour et se complètent en 2 semaines. Il est souhaitable de revoir le patient pour une évaluation entre le 15ème et le 30ème jour pour éventuellement compléter le traitement par quelques injections et parfaire ainsi les résultats.



Voici donc les indications et les résultats à attendre des injections de toxine botulique :

Une relaxation de la zone plissée :

Le front devient lisse, les sourcils s’écartent dans leur partie interne et se rehaussent subtilement donnant une ouverture et un rajeunissement du regard très apprécié, les plicatures des rides s’atténuent progressivement, les rides de la patte d’oie se réduisent nettement ⟨ voire disparaissent complètement⟩ y compris lors du sourire.

Le front reste néanmoins mobile ⟨ il n’y a pas de paralysie musculaire !⟩. Cependant, s’il reste possible de le mobiliser volontairement, les mimiques automatiques responsables des rides seront moins spontanées.


Les contre-indications et précautions à prendre.

Les contre-indications doivent être respectées :

Femme enceinte ⟨ principe de précaution⟩,

Certaines maladies neuromusculaires dégénératives comme la myasthénie.


Les précautions à prendre sont focalisées sur la prévention des risques d’ecchymoses ⟨ inhérentes à toute injection⟩ et la limitation de la douleur lors de l’injection :

Au moins 2 jours avant la séance, arrêter les médicaments suivants:

Aspirine ou anti-inflammatoires non-stéroïdiens ⟨ si cela est médicalement possible⟩.


Toutes les vitamines en cours ⟨ en particulier les produits contenant de la vitamine E⟩.


Tous les produits stimulant la circulation ⟨ artérielle comme les vasodilatateurs ou veineuse comme les veinotoniques⟩.


Juste avant la séance :

La patiente aura éventuellement massé la zone à traiter avec une petite quantité de crème anesthésiante de contact une heure avant l’injection ⟨ geste à répéter toutes les 10-15 minutes mais d’efficacité relative⟩.

Le médecin pourra appliquer un pack de glace 3 minutes.


L’injection est effectuée avec une aiguille de très fin calibre.


Après la séance d’injections, il est classiquement recommandé de ne pas s’allonger ou trop se mobiliser : il est en effet important que le produit injecté garde sa place sans se déplacer pour agir au bon endroit.


Les effets secondaires sont très rares :

En France, la loi impose de préciser les complications possibles, y compris les plus rares.

Des ecchymoses voire exceptionnellement des hématomes sous-cutanés ⟨ risques inhérents à toute piqûre⟩ mais minimisée par les précautions précédentes.

Les maux de tête ⟨ céphalées⟩ représentent environ 10% des cas. Non liés à la toxine, ils sont secondaires aux injections de liquides dans le front. Ils disparaissent spontanément ou sous paracétamol.

La fermeture temporaire de la paupière supérieure ⟨ ptosis⟩ est le seul effet secondaire réel à mentionner bien que très rare.

Cet effet secondaire est plus fréquemment vu dans les études nord-américaines où les injections de toxine botulique sont souvent concentrées et à des fins paralysantes ⟨ ce qui n’est pas souhaitable répétons-le⟩.

Bien que très préjudiciable, cet effet est de toute manière réversible mais peut néanmoins durer quelques semaines au maximum.

Les injections à visée relaxante pour conserver l’aspect naturel du front exposent nettement moins à ce préjudice qui d’ailleurs n’est jamais arrivé dans notre expérience débutée en 1999.

D’autres préjudices temporaires sont également possibles et sont secondaires à une appréciation insuffisante de la musculature faciale et une imprécision relative de l’injection dans la zone traitée.

Ils sont bien entendu éphémères mais doivent être mentionnés : élévation inégale ou cambrure excessive des sourcils, paupières lourdes.


Ces effets secondaires ne doivent pas arriver soulignant l’importance de l’expertise du praticien sur la musculature faciale et sa prudence lors de l’injection dont le résultat peut éventuellement être complété lors de la séance d’évaluation entre le 15ème et 30ème jour.



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